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Le rap m’a toujours fasciné, par sa manipulation des mots et des figures de style alliée à l’impact d’une instru/voix.
En 1996, alors collégien, je découvrais IAM et ses métaphores sociales, NTM et son urgence protestataire ou MC Solaar et la prose perchée.

Et depuis, j’écoute un peu de Kool Shen, Youssoupha, Flynt, Orelsan, Médine, Kery James, Sniper, Diams, Oxmo, Abd al Malik, Fabe, Iam, Busta flex, Hocus Pocus, Sako, Big FLo et Oli, Sinik, la Fonky Family, Le Saian Supa Crew, Scylla, Gael Faye, Sofiane, Hugo TSR,… la liste n’est pas exhaustive (mais assez marquée par les années 2000, les premiers amours marquent).

Certains rappeurs formulent, cisèlent et arrangent leurs textes si pertinemment, si fortement ou si poétiquement qu’il est intéressant de les mettre en perspective avec des auteurs plus acceptés et reconnus du grand public. Qu’ils soient leurs inspirations ou références, ne serait d’ailleurs pas étonnant.

Il y a, dans le rap et la littérature, de quoi faire des milliers d’affiches, … en voici quelques-unes.